La place naturelle de certains députés de l’ARP est derrière les barreaux, a déclaré jeudi la vice-présidente de l’UPL, Ahlem Komerji qui a précisé que ceux-ci ne doivent pas siéger au Parlement, étant impliqués dans des affaires de corruption, de concussion et de malversations du temps qu’ils étaient responsables sous Ben Ali.
Dans une déclaration à jawhara fm, elle a affirmé que ces élus ont été « blanchis » par les gouvernements qui se sont succédé après la Révolution, alors que ceux qui ont signalé leurs agissements ont été sanctionnés en leur lieu et place, appelant à la mise en place d’un dispositif protégeant ceux qui signalent des actes de corruption.
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