On ne peut pas parler de justice fiscale en Tunisie en raison de la présence de la contrebande. C’est ce qu’a constaté Moncef Sallami, député de l’ARP de Nidaa Tounes dans une interview accordée au quotidien « Le Maghreb ».
Il a exigé de mener un combat afin de mettre fin à ce phénomène dangereux. « Il faut des sacrifices pour y faire face et assurer la stabilité économique. Et ce n’est qu’ensuite qu’on peut parler de justice fiscale », a-t-il dit.
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