Dans une interview accordée au quotidien algérien Al Khabar, le chef du gouvernement tunisien a réitéré son refus catégorique d’entrer dans de nouvelles négociations sociales, pour une nouvelle augmentation salariale dans le secteur public comme le demande l’UGTT. «Il était plus simple pour moi de signer un accord factice, mais j’ai préféré la responsabilité à la surenchère » a-t-il dit en ajoutant que son refus de ces négociations est catégorique.
Jomaa a par ailleurs indiqué qu’il préfèrerait que le prochain gouvernement soit composé de compétences, indépendamment de l’appartenance partisane.
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