Dans une déclaration à Africanmanager, Fadhel Achour, a précisé que la décision a été prise par un « pouvoir impotent ».Il a appelé, en revanche, à la réactivation de la loi relative à l’organisation des mosquées ou à la mise en place de nouvelles lois et procédures garantissant la neutralité des lieux de culte.
Il a indiqué, en outre, qu’une telle décision peut avoir un effet négatif et pourrait même menacer la stabilité et la sécurité du pays. Cela pourra également impacter le processus de transition démocratique pour justifier, aux yeux des terroristes, les crimes commis, selon ses dires.
Ben Achour n’a pas exclu, en outre, la possibilité que le gouvernement soit diabolisé suite à cette décision, appelant à l’ouverture d’un dialogue avec les syndicats du secteur et ayant des connaissances dans le domaine.