Najib Hnane, président de la commission de confiscation a nié , devant la commission de la réforme administrative et de la lutte contre la corruption de l’ANC, avoir subi des pressions de la part des partis formant la troïka, ou de son Secrétaire d’Etat et son intention de démissionner. Il a assuré, lors de la séance d’écoute tenue mardi 22 avril 2014 à l’ANC, qu’une restructuration sera effectuée à la commission qu’il préside en y intégrant des magistrats de deuxième et de troisième degré.
Il a souligné qu’une vérification sera faite sur les biens immobiliers et les sociétés que possédaient les familles et les proches du président déchu entre 1987 et 2005.
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